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Commissaires : Sherry Farrell Racette, Michelle LaVallee et Cathy Mattes
Depuis toujours, les artistes autochtones utilisent des perles pour raconter des histoires, honorer leurs proches et célébrer la beauté. Épousant les techniques et le savoir transmis par les générations qui les précèdent, les artistes autochtones d’aujourd’hui emploient le perlage pour aborder des enjeux et des concepts liés à l’histoire, à la décolonisation et à la résistance. Perler, radicalement – la plus grande exposition de perlage contemporain à ce jour – présente une multitude d’œuvres allant de l’art vestimentaire au portrait, en passant par l’installation et la vidéo, qui relient le passé au présent tout en imaginant des mondes futurs.
Le catalogue dont s’accompagne cette exposition itinérante célèbre l’art novateur de 56 artistes de l’île de la Tortue qui ont exposé dans tous ses lieux hôtes ou dans la plupart d’entre eux. Proposant une sélection de leurs œuvres en 30 figures et 82 planches, cette publication aux couleurs vives présente une trame picturale empreinte d’humour, ponctuée de témoignages émouvants et traversée par une critique sociale et politique.
Itinéraire de l’exposition :
Musée d’art MacKenzie, Regina : 30 avril – 25 septembre 2022
Art Gallery of Hamilton : 11 février – 27 août 2023
Thunder Bay Art Gallery : 13 octobre 2023 – 3 mars 2024
Musée des beaux-arts du Canada : 17 mai – 30 septembre 2024
Musée des beaux-arts Beaverbrook, Fredericton : 30 novembre 2024 – 2 mars 2025
Eiteljorg Museum of American Indians and Western Art, Indianapolis : 12 avril – 3 août 2025
Artistes figurant dans ce catalogue : Barry Ace, Eva Talooki Aliktiluk, Carrie Allison, Marcus Amerman, Judy Anderson, Kristen Auger, Kaylyn Baker, Christi Belcourt, Michael Belmore, Catherine Blackburn, Katherine Boyer, Jackie Larson Bread, Marcia Chickeness, Hannah Claus, Dana Claxton, Jon Michael Robert Corbett, Ruth Cuthand, Vanessa Dion Fletcher, Marcy Friesen, Teri Greeves, Joyce Growing Thunder, Justine Gustafson, Donald et Carla Hemlock, Maria Hupfield, Lizzie Ittinuar, Bev Koski, Casey Koyczan, Jennine Krauchi, Martha Kyak, Mindy Lauren Magyar, Amy Malbeuf, Jean Marshall, Audie Murray, Nadia Myre, Margaret Nazon, Candace Neumann, Niap, Shelley Niro, Elias Not Afraid, Jamie Okuma, Sandra Okuma, Taqralik Partridge, Jobena Petonoquot, Memory Rose Poni-Cappo, Alesia Poncho et Farlan Quetawki, Skawennati, Samuel Thomas, Marie Watt, Olivia Whetung, Dyani White Hawk, Kenneth Williams Jr., Nico Williams, Will Wilson, Summer Yahbay
Imprimé au Canada
Broché
20,32 x 26,67 cm (8 x 10.5 po)
Date de parution : 2024
Mary Pratt (1935-2018)
Gelée de groseilles, 1972
Pratt s’est souvent attachée à reproduire des scènes d’imagerie domestique, convaincue que les objets banals « valaient la peine d’être regardés de près ». Dans cette exploration, la célèbre peintre de Terre-Neuve avait recours à la lumière pour faire d’un moment ordinaire une scène théâtrale pénétrante.
6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)
Collection du Musée des beaux-arts du Canada.
Mary Pratt (1935-2018)
Gelée de groseilles, 1972
Pratt s’est souvent attachée à reproduire des scènes d’imagerie domestique, convaincue que les objets banals « valaient la peine d’être regardés de près ». Dans cette exploration, la célèbre peintre de Terre-Neuve avait recours à la lumière pour faire d’un moment ordinaire une scène théâtrale pénétrante.
Dimensions de la carte : 13,5 x 17,5 cm (5,3 x 6,8 po)
Sans texte. Enveloppe incluse.
Collection du Musée des beaux-arts du Canada.
Rembrandt à Amsterdam. Créativité et concurrence (Français)
45,00 $ CAD
Prix unitaire parRembrandt à Amsterdam. Créativité et concurrence (Français)
45,00 $ CAD
Prix unitaire parPublié sous la direction de Stephanie S. Dickey et Jochen Sander, avec les contributions de Jonathan Bikker, Jan Blanc, Sonia Del Re, Stephanie S. Dickey, Rudi Ekkart et Claire van den Donk, Robert Fucci, Jasper Hillegers, Maarten Prak, Jochen Sander, Friederike Schütt, et Martin Sonnabend.
Vers l’âge de 25 ans, Rembrandt van Rijn (1606–1669) quitte sa ville natale de Leyde pour s’installer à Amsterdam, alors la capitale commerciale de l’Europe du Nord. Cette décision audacieuse pour un jeune artiste montre que Rembrandt souhaitait améliorer sa situation financière en tirant profit du marché de l’art florissant d’Amsterdam. Il épouse bientôt la cousine d’un marchand d’art prospère et a de fréquents contacts avec de riches et raffinés clients qui lui commandent leur portrait. Son style évolue rapidement et les petits panneaux méticuleux de la période de Leyde sont bientôt remplacés par les toiles réalistes à l’éclairage dramatique et exécutées à larges touches qui feront sa renommée.
Rembrandt à Amsterdam explore ce moment charnière dans la carrière de l’artiste et révèle comment l’environnement inspirant et stimulant d’Amsterdam lui a permis d’atteindre son plein potentiel. L’ouvrage, somptueusement illustré, jette un regard fascinant sur cette nouvelle communauté de créateurs à Amsterdam et son rôle dans l’établissement de la marque Rembrandt, constituée aussi bien de paysages que de scènes de genre, de tableaux historiques, de portraits et d’estampes.
Relié | 384 pages
24,8 x 29,9 cm (9,7 x 11,7 po)
Date de parution: 2021
Rembrandt in Amsterdam. Creativity and Competition (Anglais)
45,00 $ CAD
Prix unitaire parRembrandt in Amsterdam. Creativity and Competition (Anglais)
45,00 $ CAD
Prix unitaire parPublié sous la direction de Stephanie S. Dickey et Jochen Sander, avec les contributions de Jonathan Bikker, Jan Blanc, Sonia Del Re, Stephanie S. Dickey, Rudi Ekkart et Claire van den Donk, Robert Fucci, Jasper Hillegers, Maarten Prak, Jochen Sander, Friederike Schütt, et Martin Sonnabend.
Vers l’âge de 25 ans, Rembrandt van Rijn (1606–1669) quitte sa ville natale de Leyde pour s’installer à Amsterdam, alors la capitale commerciale de l’Europe du Nord. Cette décision audacieuse pour un jeune artiste montre que Rembrandt souhaitait améliorer sa situation financière en tirant profit du marché de l’art florissant d’Amsterdam. Il épouse bientôt la cousine d’un marchand d’art prospère et a de fréquents contacts avec de riches et raffinés clients qui lui commandent leur portrait. Son style évolue rapidement et les petits panneaux méticuleux de la période de Leyde sont bientôt remplacés par les toiles réalistes à l’éclairage dramatique et exécutées à larges touches qui feront sa renommée.
Rembrandt à Amsterdam explore ce moment charnière dans la carrière de l’artiste et révèle comment l’environnement inspirant et stimulant d’Amsterdam lui a permis d’atteindre son plein potentiel. L’ouvrage, somptueusement illustré, jette un regard fascinant sur cette nouvelle communauté de créateurs à Amsterdam et son rôle dans l’établissement de la marque Rembrandt, constituée aussi bien de paysages que de scènes de genre, de tableaux historiques, de portraits et d’estampes.
Relié | 384 pages
24,8 x 29,9 cm (9,7 x 11,7 po)
Date de parution: 2021
Sous la direction de Sylvie Lacerte avec les contributions de Gilles Daigneault, Vera Frenkel, Manuel Mathieu, Caroline Monnet, Marc-Antoine K. Phaneuf et Marc Séguin
Marquant le centenaire de la naissance de Jean Paul Riopelle, l’exposition Riopelle, à la croisée des temps présente un créateur qui, tout en étant résolument ancré dans son temps, n’a jamais cessé d’expérimenter et d’innover. En puisant dans son œuvre telle qu’elle se décline en différents médiums et matières, la commissaire invitée Sylvie Lacerte brosse le portrait de Riopelle en explorateur visionnaire. Offrant un point de vue singulier sur le célèbre artiste canadien, cette rétrospective présente ses œuvres les plus connues aux côtés de créations rarement, voire jamais exposées publiquement.
Ce catalogue richement illustré qui accompagne l’exposition rassemble des essais originaux de spécialistes de l’art et d’artistes qui posent un regard personnel sur l’œuvre de Riopelle et prolongent la réflexion sur son legs. Au fil des pages, on découvre toute l’étendue de son influence légendaire grâce à une sélection d’œuvres réalisées par ses contemporains, mais aussi par des créateurs d’aujourd’hui, dans un large éventail de perspectives esthétiques et culturelles.
Relié | 208 pages
Date de parution : 2023
Sous la direction de Sylvie Lacerte avec les contributions de Gilles Daigneault, Vera Frenkel, Manuel Mathieu, Caroline Monnet, Marc-Antoine K. Phaneuf et Marc Séguin
Marquant le centenaire de la naissance de Jean Paul Riopelle, l’exposition Riopelle: Crossroads in Time présente un créateur qui, tout en étant résolument ancré dans son temps, n’a jamais cessé d’expérimenter et d’innover. En puisant dans son œuvre telle qu’elle se décline en différents médiums et matières, la commissaire invitée Sylvie Lacerte brosse le portrait de Riopelle en explorateur visionnaire. Offrant un point de vue singulier sur le célèbre artiste canadien, cette rétrospective présente ses œuvres les plus connues aux côtés de créations rarement, voire jamais exposées publiquement.
Ce catalogue richement illustré qui accompagne l’exposition rassemble des essais originaux de spécialistes de l’art et d’artistes qui posent un regard personnel sur l’œuvre de Riopelle et prolongent la réflexion sur son legs. Au fil des pages, on découvre toute l’étendue de son influence légendaire grâce à une sélection d’œuvres réalisées par ses contemporains, mais aussi par des créateurs d’aujourd’hui, dans un large éventail de perspectives esthétiques et culturelles.
Relié | 208 pages
Date de parution : 2023
Sans invitation | Les artistes canadiennes de la modernité (Français)
60,00 $ CAD
Prix unitaire parSans invitation | Les artistes canadiennes de la modernité (Français)
60,00 $ CAD
Prix unitaire parSarah Milroy
Sans invitation : Les artistes canadiennes de la modernitépropose une perspective critique sur une génération extraordinaire de femmes peintres, photographes, sculptrices, architectes et cinéastes d’il y a un siècle – des pionnières qui ont ouvert de nouveaux horizons aux femmes artistes du Canada – ainsi que sur les œuvres de leurs contemporaines autochtones travaillant dans les techniques traditionnelles, véritable instantané de la créativité au féminin à travers le pays de cette époque moderne foisonnante.
Relié | 320 pages
Date de parution : 2021
Josée Drouin-Brisebois
En tant qu’institution organisatrice de la participation canadienne à la 55e Biennale de Venise, le Musée des beaux-arts du Canada présente le travail de Shary Boyle, une créatrice accomplie qui invente des récits explorant la psychologie et les émotions humaines. Le catalogue raconte la pratique de l’artiste et ses différents moyens d’expression, tels le dessin, la sculpture et la céramique, ainsi que la performance et l’installation.
Broché | 192 pages
Date de parution : 2013
En anglais, français et italien
Melissa Bennett, Greg Hill, et David W. Penney
Shelley Niro est largement connue pour sa capacité à explorer les histoires traditionnelles, à transgresser les frontières et à incarner l’ethos de sa culture matriarcale. Membre du clan de la Tortue de la Réserve des Six Nations, de la bande des Mohawks de la baie de Quinte, elle recourt à une grande variété de médias, notamment la photographie, l’installation, le film et la peinture pour donner une plus grande visibilité aux femmes et aux filles autochtones.
Repoussant les limites de la photographie, Niro incorpore l’imagerie des histoires traditionnelles pour aborder des sujets contemporains avec esprit, ironie et un sens de la parodie. Dans tout son travail – dans ses portraits, ses sculptures, ses peintures de paysages, ses photographies, ses films et vidéos – Niro remet en question les idées préconçues sur le genre, la culture et les peuples autochtones.
Relié | 304 pages
20,5 x 25 cm (8,1 x 9,8 po)
Date de parution : 2023
Publié par la Art Gallery of Hamilton et le Smithsonian National Museum of the American Indian.
Shelley Niro: 500 Year Itch accompagne une exposition en tournée internationale organisée par la Art Gallery of Hamilton et le Smithsonian National Museum of the American Indian en collaboration avec le Musée des beaux-arts du Canada.
Melissa Bennett, Greg Hill, et David W. Penney
Shelley Niro est largement connue pour sa capacité à explorer les histoires traditionnelles, à transgresser les frontières et à incarner l’ethos de sa culture matriarcale. Membre du clan de la Tortue de la Réserve des Six Nations, de la bande des Mohawks de la baie de Quinte, elle recourt à une grande variété de médias, notamment la photographie, l’installation, le film et la peinture pour donner une plus grande visibilité aux femmes et aux filles autochtones.
Repoussant les limites de la photographie, Niro incorpore l’imagerie des histoires traditionnelles pour aborder des sujets contemporains avec esprit, ironie et un sens de la parodie. Dans tout son travail – dans ses portraits, ses sculptures, ses peintures de paysages, ses photographies, ses films et vidéos – Niro remet en question les idées préconçues sur le genre, la culture et les peuples autochtones.
Relié | 304 pages
20,5 x 25 cm (8,1 x 9,8 po)
Date de parution : 2023
Publié par la Art Gallery of Hamilton et le Smithsonian National Museum of the American Indian.
Shelley Niro: 500 Year Itch accompagne une exposition en tournée internationale organisée par la Art Gallery of Hamilton et le Smithsonian National Museum of the American Indian en collaboration avec le Musée des beaux-arts du Canada.
Shine a Light Surgir de l'ombre : la biennale canadienne 2014 (Bilingue)
Josée Drouin-Brisebois, Greg Hill, Andrea Kunard, Jonathan Shaughnessy and Rhiannon Vogl
Shine a Light Surgir de l’ombre met en lumière une sélection exemplaire d’acquisitions canadiennes récemment intégrées aux collections d’art contemporain, d’art indigène et de photographies du Musée des beaux-arts du Canada. Les vingt-six artistes représentés proviennent d’un peu partout au pays; ils appartiennent à plusieurs générations et ont des antécédents divers. Cette biennale regroupe plus de quatre-vingts œuvres : films et installations vidéo, sculptures, peintures, dessins et photos. Même si les artistes réunis pour l'exposition se tournent fréquemment vers le passé – événements, littérature, cinéma, lieux, mouvements culturels, traditions –, ils demeurent bien ancrés dans le présent. Leurs œuvres servent à analyser l’écriture de l’histoire, le rôle considérable des images véhiculées dans le domaine de l’information ainsi que les perceptions et les interprétations des faits considérés jusque-là comme réels.
Artistes mis en vedette : David Armstrong Six, Shuvinai Ashoona, Nicolas Baier, Shary Boyle, Edward Burtynsky, Tammi Campbell, Mario Doucette, Geoffrey Farmer, David Hartt, Isabelle Hayeur, Phillippa Jones, Stéphane La Rue, Rita Letendre, An Te Liu, David McMillan, Damian Moppett, Luke Parnell, Vanessa Paschakarnis, Ed Pien, Tim Pitsiulak, Kelly Richardson, Jeremy Shaw, Althea Thauberger, Jutai Toonoo, Howie Tsui, Lawrence Paul Yuxweluptun
Broché | 260 pages
20,32 x 27,3 cm (8 x 10,75 po)
Date de parution : 2014
Jin-me Yoon (née en 1960)
Souvenirs du moi (Lac Louise), 1991
En 1968, Yoon quitte la Corée du Sud et s’établit à Vancouver où elle étudie l’art contemporain et découvre des artistes et des théoriciens passionnés par la question des différences d’ordre sexuel et culturel. Son œuvre est réputée pour sa contribution au discours actuel sur les notions d’identité et de lieu.
9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)
Collection du Musée des beaux-arts du Canada.
Jin-me Yoon (née en 1960)
Souvenirs du moi (Lac Louise), 1991
En 1968, Yoon quitte la Corée du Sud et s’établit à Vancouver où elle étudie l’art contemporain et découvre des artistes et des théoriciens passionnés par la question des différences d’ordre sexuel et culturel. Son œuvre est réputée pour sa contribution au discours actuel sur les notions d’identité et de lieu.
Dimensions de la carte : 17,5 x 13,5 cm (6,8 x 5,3 po)
Sans texte. Enveloppe incluse.
Collection du Musée des beaux-arts du Canada.
Publié sous la direction de Reid Shier, avec les contributions de Ma’an Abu Taleb, Erika Balsom, Samir Gandesha et George E. Lewis.
Stan Douglas : l’une des voix les plus influentes en art contemporain au Canada a longtemps exploré les mouvements socioculturels et politiques charnières de l’histoire. Son exposition à la 59e Biennale di Venezia, 2011 ≠ 1848 porte une réflexion sur le langage de la contestation, de la révolution et des soulèvements survenus sur le globe en 2011. Les quatre photographies documentaires hybrides grand format de Douglas remettent en scène les protestations de Tunis, Londres, New York et Vancouver. Sa vidéo HD deux-canaux ISDN montre pour sa part les rappeurs Grime et Mahraganat dans un échange de paroles subversives entre leurs studios de Londres et du Caire.
Ce superbe catalogue illustré de 288 pages, publié en anglais, français et arabe, regroupe quelque 100 images pleine couleur qui saisissent méticuleusement les détails de scènes en coulisses des productions élaborées de Douglas. Des essais de la plume de penseurs internationaux de la culture examinent le travail de l’artiste en relation avec la musique, l’économie politique, la théorie contemporaine des médias et l’ascension de Grime et Mahraganat.
Relié | 288 pages (100 illustrations)
24,8 x 27,5 cm (9,8 x 10,8 po)
Anglais, français et arabe
Date de parution : 2022
Josée Drouin-Brisebois
Le Musée des beaux-arts du Canada est désigné comme institution organisatrice pour la 54e édition de la Biennale de Venise, qui présente le travail de Steven Shearer. Sous ses dehors pop, l’œuvre de Shearer est étonnamment complexe et saisissante. En nous montrant de divers points de vue certains aspects de la culture, Shearer expose la fausse hiérarchie entre art populaire et grand art, et attire notre attention sur les plus intéressantes distinctions entre les industries culturelles et le monde de l’art. Le catalogue généreusement illustré qui accompagne l’exposition à Venise démontre les toiles, les œuvres textuelles, les sculptures et les compilations photographiques de l’artiste.
Broché | 257 pages
Date de parution : 2011
En anglais, français et italien
Lucius R. O’Brien (1832-1899)
Lever du soleil sur le Saguenay, cap Trinité, 1880
En 1880, O’Brien est élu premier président du premier regroupement canadien des artistes, l’Académie royale des arts du Canada. Son morceau de réception à l’Académie, Lever de soleil sur le Saguenay, cap Trinité compte parmi les premières œuvres de la collection fu MBAC.
9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)
Collection du Musée des beaux-arts du Canada.
Carte double Lever du soleil sur le Saguenay, cap Trinité
4,95 $ CAD
Prix unitaire parCarte double Lever du soleil sur le Saguenay, cap Trinité
4,95 $ CAD
Prix unitaire parLucius R. O’Brien (1832-1899)
Lever du soleil sur le Saguenay, cap Trinité, 1880
En 1880, O’Brien est élu premier président du premier regroupement canadien des artistes, l’Académie royale des arts du Canada. Son morceau de réception à l’Académie, Lever de soleil sur le Saguenay, cap Trinité compte parmi les premières œuvres de la collection fu MBAC.
Dimensions de la carte : 17,5 x 13,5 cm (6,8 x 5,3 po)
Sans texte. Enveloppe incluse.
Collection du Musée des beaux-arts du Canada.