Sur cet aimant figure une reproduction de la sculpture de Louise Bourgeois, Maman (1999, fonte de 2003). L'œuvre originale, en bronze, acier inoxydable et marbre, fait partie des collections du Musée des beaux-arts du Canada.

Diamètre : 7,6 cm (3 po) 

© The Easton Foundation / VAGA at ARS, NY / CARCC Ottawa 2025

Cet aimant présente l’œuvre Thinking Caps [Chapeaux à penser] (1999) par l'artiste mohawk Shelley Niro.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Cet aimant reproduit l'œuvre Passing Through [De passage] (1993) par l'artiste mohawk Shelley Niro.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Brian Jungen (né en 1970)
Vienna, 2003

Jungen est connu pour la manière dont il exprime les préoccupations autochtones en convertissant des objets de la culture contemporaine. Évoquant un squelette de baleine, espèce menacée que de nombreux peuples autochtones investissent d’un grand pourvoir spirituel, Vienne se compose de chaises de jardin plastique bon marché, un matériau indestructible.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Cet aimant reproduit l'œuvre Wampum de l'émancipation intergalactique (2019) par l'artiste mohawk Skawennati.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Meryl McMaster (née en 1988)
Au bord de cette immensité, 2019

Dans sa photographie, McMaster combine des éléments de performance et d’installation pour explorer les tensions à identité et à l’héritage, notamment en sa qualité de femme de la Saskatchewan d’ascendance autochtone (crie des plaines) et européenne (britanno-néerlandaise).

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Cet aimant reproduit l'œuvre Danse de guérison 2 (2013) par l'artiste anishinaabe (Odawa) Barry Ace.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Sarah Anne Johnson (née en 1976)
Explosions, 2011

Johnson s’intéresse dans sa pratique aux utopies et aux communautés contemporaines marginales qui poursuivent un idéal. Ses sentiments et ses souvenirs d’expériences vécues au sein de ces groupes trouvent leu expression dans un travail de photographie augmentée. L’artiste recrée des scènes sous la forme de dioramas ou réhausse ses images avec de la peinture, des paillettes, de l’encre ou des procédés Photoshop.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Cet aimant reproduit la sculpture Oiseau-chaman avec bola (1988) de l'artiste inuit Nick Sikkuark (1943–2013).

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Cet aimant reproduit la sculpture Sans titre (Transformation humain-caribou?) (1998) de l'artiste inuit Nick Sikkuark (1943–2013).

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Cet aimant reproduit l'œuvre Sans titre (Personnages sur un iceberg) (2004) de l'artiste inuit Nick Sikkuark (1943–2013).

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Karoo Ashevak (1940-1974)
Personnage, 1974

L’exagération des traits et l’utilisation créative des os de baleine caractéristiques de l’œuvre d’Ashevak ont contribué ç définir le style expressif de la région de Kitikmeot, au Nunavut. Les yeux dissemblables, signe d’une vision exceptionnelle, et la main enveloppée d’une mitaine, symbole d’une faculté spirituelle, indiquent que cette créature est un être puissant venu d’un autre monde.

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Jin-me Yoon (née en 1960)
Souvenirs du moi (Lac Louise), 1991

En 1968, Yoon quitte la Corée du Sud et s’établit à Vancouver où elle étudie l’art contemporain et découvre des artistes et des théoriciens passionnés par la question des différences d’ordre sexuel et culturel. Son œuvre est réputée pour sa contribution au discours actuel sur les notions d’identité et de lieu.

9 x 6,5 cm (3,5 x 2,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Lilias Torrance Newton (1896-1980)
Anna, v. 1923 

« [Lilias] Torrance Newton allait faire du portrait sa spécialité. Durant la Grande Dépression, elle doit subvenir à ses besoins et ceux de son fils, ayant divorcé lorsque son mari a fait faillite et abandonné sa famille. »

- Extrait du catalogue Sans invitation : Les artistes canadiennes de la modernité, une exposition organisée par la McMichael Canadian Art Collection avec le soutien exceptionnel du Musée des beaux-arts du Canada. 

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Pegi Nicol MacLeod (1904-1945)
La descente de lis, 1935

« La descente de lis incarne l’espace liminal et vaporeux entre le rêve et la rêverie. [...] Des formes pleines en état d’apesanteur glissent de l’avant à l’arrière, montant et descendant doucement, comme des personnages sur un manège de chevaux de bois. »

- Extrait du catalogue Sans invitation : Les artistes canadiennes de la modernité, une exposition organisée par la McMichael Canadian Art Collection avec le soutien exceptionnel du Musée des beaux-arts du Canada. 

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Paraskeva Clark (1898-1986)
Moi-même, 1933

Considéré comme l’un des portraits les plus puissants de l’art canadien, cet autoportrait est à la fois direct, assuré et élégant. En se représentant enceinte de trois mois, Paraskeva Clark lance un défi aux codes sociaux des années 1930 qui régissent la visibilité et la glorification du corps des femmes enceintes. Cette toile, soumise à l’exposition de 1933 du Groupe des peintres canadiens, renvoie l’image d’une femme forte et professionnelle, qui s’impose tout en réclamant avec force l’attention du spectateur.

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Prudence Heward (1896-1947)
Rollande, 1929

Les jeunes femmes fortes et indépendantes peintes par Prudence Heward offrent une nouvelle interprétation des femmes canadiennes des années 1920. Les mains sur les hanches, une jambe lancée vers l’avant, Rollande affiche une expression sérieuse et une attitude volontaire qui révèlent la maîtrise de son environnement. Sa place devant la clôture confirme sa force et son indépendance.

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.

Prudence Heward (1896–1947)
Femme sur une colline, 1928

Heward faisait partie d’un petit groupe de femmes artistes actives à Montréal dans l’entre-deux-guerres. Associée aux artistes fondatrices du Groupe de Beaver Hall, elle est surtout connue pour ses représentations de la figure humaine.

6,5 x 9 cm (2,5 x 3,5 po)

Collection du Musée des beaux-arts du Canada.